Le vide sanitaire est-il plus cher que le terre-plein ?

Argileux, sujets aux gonflements, aux dilatations, aux retraits…
• En pente à plus de 4% avec des risques de déplacement de construction
• Constitué de remblais
• En banquette avec des risques de tassements différentiels
• En cuvette qui recevrait les eaux de ruissellement
• Hétérogène avec là aussi des risques de tassement différentiels.

Quel prix est-on prêt à payer pour ignorer les problèmes liés aux nappes phréatiques et à l’inondabilité ?

Quel prix est-on prêt à payer pour ne pas avoir à remplacer et à passer en extérieur des canalisations ou des évacuations écrasées ou sectionnées par des affaissements de dalle ?

Quel prix est-on prêt à payer pour ne jamais voir des cloisons se fissurer, des carrelages s’affaisser et se décoller, des papiers peints décollés par l’humidité ?

Quel prix est-on prêt à payer pour pouvoir accéder à son «espace tampon» et avoir toute initiative pour le maintenir ou le faire évoluer ?

Quel prix est-on prêt à payer pour bénéficier de la garantie amenée par des produits industriels certifiés, sous Avis technique du CSTB et profiter également du savoir-faire de ces industriels concepteurs et de leurs innovations.

Quel prix est-on prêt à payer pour avoir en face de soi un interlocuteur compétent et disponible, à l’écoute de ses besoins ?

Quel prix est-on prêt à payer pour être certain de disposer toujours des dernières solutions techniques et innovantes en matière de système constructif, d’isolation, de règlementation ?

Quel prix est-on prêt à payer pour que son chantier avance, que les délais soient respectés et ce, quelles que soient les conditions climatiques ?

Quel prix est-on prêt à payer pour avoir l’impression de payer des primes d’assurance en pure perte ?